La culture de l’ail rose de Billom

Culture emblématique de la plaine de Limagne, l’ «Ail de Billom» a fait la richesse du Pays de Billom, grâce à la typicité d’un environnement géologique et climatique à l’origine des qualités gustatives et de conservation de l’ail. La valeur de son patrimoine architectural, urbain et paysager remarquable est attestée de plus par le label Pays d’Art et d’Histoire du Pays de Billom Saint Dier. Les champs d’ail qui ont remplacé à partir de 1860 le chanvre en déclin pour accompagner la betterave sucrière, ont entraîné un développement économique exceptionnel du territoire. Billom, cité médiévale, porte du Livradois marquée par un passé historique intense à travers ses foires et marchés a permis la commercialisation de cet or blanc, atteignant son apogée dans les années 1950/60. L’inventivité des ingénieurs de l’INRA a amplement contribué à cet essor, en créant les variétés adaptées au territoire, celles de l’ail rose d’Auvergne. Avec une centaine d’hectares de culture d’ail, l’Auvergne assure aujourd’hui 5 % de la production nationale, devenue fragile face à la production de masse et la concurrence internationale. Dans un contexte agricole en mutation, l’enjeu des producteurs locaux est d’obtenir la reconnaissance « Indication géographique protégée », garantie de la sauvegarde de l’ail, de la polyculture et des savoir-faire paysans qui y sont liés : ceux d’une agriculture plus « propre » et des circuits-courts.

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Inventaire National du Patrimoine Culturel Immatériel / PCI LAB

La fabrication de la fourme de Montbrison

La fourme est née dans les « Jasseries » des Monts du Forez, confectionnée selon le même procédé ancestral aux caractéristiques constantes, au croûtage orangé, au bleu doux, à la pâte persillée, égouttée en fin de fabrication dans des chéneaux d’épicéa, retournée d’un quart de tour matin et soir dans une température comprise entre 18 et 22 degrés. 500 tonnes de fourme de Montbrison sont aujourd’hui produites par an, nécessitant une collecte de plus de 5 000 000 de litres de lait.  Fabriqués à l’estive au-delà de 1200 mètres d’altitude, dans des cabanes dites « loges » au XVIIe siècle et « Jasseries » au XIXe siècle, les fromages des Monts du Forez possèdent les qualités exceptionnelles des pâtures des Hautes-Chaumes. L’herbe y a une valeur nutritive bien supérieure à celle du foin pour les vaches laitières qui produisent le lait destiné à la fabrication de la fourme. Ce fromage au lait de vache à pâte persillée a obtenu l’Appellation d’Origine Protégée (AOP) « Fourme de Montbrison » en 2002 sur le périmètre des 33 communes des Monts du Forez, situées entre 600 et 1640 mètres d’altitude, à la frontière des départements de la Loire et du Puy-de-Dôme au cœur du Pays d’Art et d’Histoire du Forez dans un environnement architectural et naturel remarquable de la zone Natura 2000. 

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Inventaire National du Patrimoine Culturel Immatériel / PCI LAB

La fabrication du fromage de Salers

Salers, petite cité médiévale, construite sur un site volcanique à 950 mètres d’altitude au cœur du Parc des Volcans d’Auvergne, est le berceau d’une race bovine singulière, spécifiquement adaptée au climat : la Salers. D’une race au profil exceptionnel, elle attire toutes les affections, par son allure, sa robustesse, sa capacité de vêlage et son instinct maternel.

Introduite au XIXe siècle par le maire de Saint Bonnet de Salers, Tyssandier d’Escous, la vache Salers s’est d’abord développée pour la viande et le lait et ensuite uniquement pour le lait grâce au fromage et aux appellations AOP initiées par les professionnels locaux. Les fromages AOP Salers et AOP Cantal sont étroitement liés à la vache Salers car ils sont fabriqués avec le lait des troupeaux de Salers. Fabriqué traditionnellement par les paysans « vachers » à l’estive dans des burons, petites constructions de pierre aux toits de lauze, il l’est aujourd’hui à la ferme pour l’AOP Tradition Salers et en coopérative pour l’AOP Cantal au lait de Salers. Ces deux fromages se caractérisent par un goût unique du aux propriétés particulières de ce site volcanique, riches en acide phosphorique, en potasse et en magnésie développant une herbe grasse à la flore diversifiée. Bénéficiant à l’estive – pâturage de montagne où l’on mène les troupeaux pendant l’été – d’un herbage exceptionnel et naturel, les vaches Salers, produisent un fromage directement issu des pâturages au parfum et au goût inimitables.

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La culture du Chasselas de Moissac

Entre Atlantique et Méditerranée, les paysages du Quercy sont indissociables de la culture du raisin « Chasselas de Moissac ». Moissac, ville phare du territoire, reconnue pour son patrimoine notoire de l’Abbaye Saint-Pierre de Moissac classée au Patrimoine de l’Humanité de l’UNESCO, s’inscrit dans un paysage de fruitiers et de vignes produisant le « Chasselas », raisin blanc de table d’une finesse exquise. Ce raisin fut le premier fruit à obtenir en 1971, une Appellation d’Origine Contrôlée (AOC) et cela grâce à l’implication et à la dextérité des producteurs locaux où « épamprer, ébourgeonner, ébrindiller, écimer, flécher et ciseler » à la main, sont des tâches saisonnières qui font la préciosité des grappes de Chasselas. Moissac, ville historique où se côtoient patrimoine culturel matériel et immatériel, est labellisée « Ville Pays d’Art et d’Histoire », « Site Remarquable du Goût », et se distingue depuis le Moyen-âge pour son raisin de consommation.

Le raisin Chasselas de Moissac est apprécié pour ses qualités gustatives, craquant au goût de miel, pour la rondeur et l’épiderme doré de ses grains et enfin pour sa culture « raisonnée » au titre d’une agriculture durable. Ce sont aujourd’hui entre 2 500 et 3 500 tonnes de Chasselas de Moissac AOP qui sont produites chaque année sur la zone d’appellation.

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Les Salaisons fumées au tuyé du Haut-Doubs

Les paysans « Montagnons » du Haut-Doubs ont élaboré, en adéquation avec l’environnement des forêts de résineux et des riches pâtures jurassiennes, des pratiques rurales de fumaison des charcuteries dans des fumoirs en pierre ou cheminées en bois des fermes comtoises : les tuyés.

La production de ces charcuteries, les salaisons comtoises, est liée depuis toujours à l’élevage des cochons nourris au petit lait issu de la fabrication des fromages grâce au réseau de fruitières développé en Franche-Comté.

Produits de cet écosystème, les saucisses de Morteau et de Montbéliard fumées au bois d’épicéa sont les fleurons des salaisons comtoises. Les agriculteurs et les charcutiers locaux, respectueux de la traçabilité totale perpétuent cette tradition dans des tuyés de pierre ou de bois. Ils sont les derniers détenteurs de ce savoir-faire rare des « Salaisons fumées au tuyé du Haut-Doubs »

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La culture du cresson de Méréville

Vu du ciel, le paysage de Méréville est marqué par des parcelles géométriques redécoupées par de longues fosses parallèles emplies d’eau et séparées par des bandes herbeuses : ce sont les cressonnières de Méréville implantées là depuis la fin du XIXe siècle (1894). Composant avec le Parc à l’anglaise du XVIIIe siècle du Château de Méréville, l’ensemble des parcelles constitue un paysage remarquable propre à la vallée de la Juine. « Or vert » du territoire, la culture du cresson est reconnue comme un patrimoine culturel local grâce à la saveur exceptionnelle de cette plante potagère aux vertus gustatives et médicinales. La qualité des eaux de source et leur abondance constituent les conditions essentielles de la production de cresson qui perdure dans cet écrin de verdure. Les cressonnières ont de plus un rôle vertueux dans le cycle environnemental puisqu’elles font office d’épurateur de la nappe de Beauce qui alimente ce site remarquable.

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La pêche des poissons d’eau douce des étangs de la Dombes

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Inventaire National du Patrimoine Culturel Immatériel / PCI LAB

Le patrimoine manufacturier français protégé par un label

(AFP) – Béret basque, dentelle de Calais-Caudry, textile des Vosges ou vases d’Anduze: les produits manufacturés représentant “l’art de vivre à la française” bénéficieront désormais d’une Indication géographique (IG) pour être valorisés à l’export et protégés face aux contrefaçons.

L’IG repose sur la dénomination d’une zone géographique servant à désigner un produit artisanal manufacturé possédant une qualité, une réputation ou des caractéristiques exclusivement attribuées à cette origine géographique.

Jusqu’à présent, seuls les produits agricoles pouvaient bénéficier de la protection des indications géographiques par le biais des indications géographiques protégées (IGP).

Porcelaine de Limoges, parapluies d’Aurillac, grenat de Perpignan, sièges de Liffol Le Grand, espadrilles de Mauléon: des dizaines d’entreprises possédant dans certains cas un savoir-faire en perdition pourront prétendre à une IG.

 Son attribution par l’Institut national de la propriété industrielle (INPI) permettra ainsi à tout professionnel, artisan, société et commerçant de valoriser son produit et son savoir-faire et de se protéger contre l’utilisation abusive des dénominations géographiques.

 

Contribution des instruments de protection du patrimoine culturel à la préservation des espaces naturels et agricoles

Lutte contre l’artificialisation des sols et le mitage – Etude pour le Ministère de la Culture et de la Communication

Groupe de travail sur l’artificialisation des sols – Ministères de la Culture et de la Communication / de l’Agriculture / de l’Ecologie – 2015

Dans le contexte d’extension urbaine, les terres naturelles et agricoles sont clairement menacées. C’est ainsi que l’équivalent de la surface d’un département disparaît en France tous les 10 ans. Leur préservation, comme celle du paysage et du patrimoine culturel qui subit les mêmes pressions constitue un enjeu majeur, et par ailleurs conditionne l’attractivité des territoires ruraux. Ces deux facteurs sont à considérer en même temps pour que les réponses les plus pertinentes puissent être apportées au niveau de l’élaboration des PLU et des SCOT.

Le document est destiné tout d’abord à montrer l’apport que peuvent, dans certains cas, constituer les outils patrimoniaux relevant du Ministère de la culture et de la communication pour la préservation des terres agricoles.

Il s’inscrit dans le cadre d’une commande issue de la conférence environnementale de 2013 faisant écho au protocole Alimentation – Agri/Culture.

 Cet outil a aussi pour ambition de montrer, à travers des exemples concrets, l’intérêt d’une prise en compte globale des enjeux agricoles, patrimoniaux et architecturaux, et ce, dès l’élaboration des documents d’urbanisme.

L’affectation des sols est définie par les documents d’urbanisme. Ainsi, les schémas de cohérence territoriale (SCOT) et les plans locaux d’urbanisme (PLU) délimitent les espaces naturels, agricoles et forestiers sur le territoire qu’ils couvrent. En outre, des instruments de protection au titre du patrimoine peuvent contribuer, de manière indirecte, à l’objectif de préservation de ces espaces.

Les effets liés à la prise en compte du patrimoine culturel peuvent être significatifs notamment pour :

  • L’appréhension de l’identité du territoire autour de valeurs culturelles
  • L’approche transversale de la planification liée à la recherche de cohérence entre espaces urbain, paysager et agricole de qualité
  • La sensibilisation et implication des élus et des acteurs locaux, agriculteurs et habitants
  • La protection contre le mitage et la banalisation des bourgs
  • Le maintien des réseaux de villages
  • Le maintien de l’équilibre entre l’espace bâti et l’espace agricole
  • Le maintien des zones naturelles et d’une zone tampon avec les terres cultivées dans les périmètres protégés
  • La protection des lisières forestières et des réseaux de murs et de haies
  • Le maintien de zones naturelles et agricoles au titre des cônes de vues à préserver.

Patrimoine culturel immatériel et Inventaire des métiers d’art rares en France

Inventaire des Métiers d’Art Rares en France  

INMA février 2011 – Sous la direction de Catherine Virassamy réalisé par Francesca Cominelli et Lamia Gabriel

L’Inventaire des Métiers d’Art Rares en France s’inscrit dans le cadre de la Convention de l’Unesco pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel

Selon le texte de la convention de l’UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel :
« Chaque État-partie doit prendre les mesures nécessaires pour assurer la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel présent sur son territoire.
Il doit s’attacher à identifier et définir les différents éléments du patrimoine culturel immatériel présents sur son territoire, avec la participation des communautés, des groupes et des organisations
non gouvernementales pertinentes. Pour assurer l’identification de ce patrimoine en vue de sa sauvegarde, chaque État-partie doit dresser un ou plusieurs inventaires du patrimoine culturel
immatériel présent sur son territoire. Ces inventaires font l’objet d’une mise à jour régulière. »
(art . 11 et 12)
L’inventaire du patrimoine culturel immatériel (INPCI) en France est tenu et mis à jour par le Ministère de la culture et de la communication (Direction générale des patrimoines). Le département du pilotage de la recherche et de la politique scientifique est compétent dans le domaine de l’ethnologie et du patrimoine culturel immatériel et est en charge de la coordination de la mise en œuvre de la convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Le Département du pilotage de la recherche et de la politique scientifique est à ce titre en charge de l’Inventaire du patrimoine culturel immatériel en France.
L’inscription sur l’inventaire se fait principalement par le biais d’enquête réalisées avec la participation des communautés détentrices de PCI, en partenariat avec des organismes de recherches et des associations culturelles.
L’inscription peut également être demandée directement par les porteurs de traditions. La demande d’inscription est soumise à l’examen du comité du patrimoine culturel immatériel.
L’inscription sur l’inventaire du patrimoine culturel immatériel en France est obligatoire pour présenter une dossier de candidature sur l’une ou l’autre liste du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. La présence de l’élément soumis pour inscription sur un inventaire national est en effet un des cinq critères requis pour que la candidature soit approuvée par l’UNESCO.Les métiers d’art fondent l’un des socles essentiels du patrimoine immatériel culturel français.

Riche de 217 métiers répartis en 19 secteurs, ils sont l’héritage de savoir-faire diversifiés précieusement élaborés de génération en génération. Les métiers d’art façonnent et renouvellent notre patrimoine mobilier et immobilier, intervenant aussi bien dans les champs de la restauration, de la tradition, que de la création. Un nombre important de ces savoir-faire sont toutefois menacés du fait du départ à la retraite de  nombreux artisans impliquant la mise en place d’initiatives pour en assurer la sauvegarde et la transmission.

Cet inventaire fait suite à la réalisation de plusieurs inventaires :

– l’Annuaire Officiel des Métiers d’Art de France qui a pour objectif d’améliorer la visibilité des entreprises et des professionnels des métiers d’art en France et à l’International www.annuairedesmetiersdart.com

– l’Inventaire des métiers d’art rares à Paris et en Ile-de-France afin d’identifier les entreprises et savoir-faire à transmettre via le site internet www.metiersrares.com

– l’Inventaire des Métiers d’Art Rares en France dans le cadre de la mise en œuvre le la Convention de l’Unesco pour la sauvegarde du Patrimoine Culturel Immatériel.

L’inventaire des Métiers d’ art Rares en France a conduit à l’inclusion d’une cinquantaine de savoir-faire de métiers d’art rares à Inventaire National du patrimoine culturel immatériel et à l’établissement d’une bases de données de près de 1000 détenteurs de métiers d’art rares;

Les savoir-faire inclus à l’INPCI :

La fabrication d’épis de faîtage en Basse Normandie

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La construction et restauration de maisons en pans de bois

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La porcelaine de Limoges

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L’héliogravure

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La calligraphie

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Le tissage à bras

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La fabrication de carcasses de sièges à Liffol-le-Grand

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La mégisserie à Saint-Junien

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Les savoir-faire des cristalliers de Daum

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La glyptique

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Le remplissage en pan-de-bois en Normandie

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L’enluminure

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La miniature au « blanc Limoges »

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La filature à Pelletin

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La dentelle au fuseau du Puy-en-Velay

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La fabrication de pigments à Bécherel

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Le rempaillage et le cannage de chaises à Forcalquier

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La peinture sur porcelaine à Saint-Junien

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Le damassage en Lorraine

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La fabrication des émaux de Longwy

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La pendulerie

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La corseterie

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La gravure héraldique

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L’émaillerie de Limoges

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La poterie du Mesnil-de-Bavent

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Les savoir-faire du tourneur sur bois

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La menuiserie-charpente en Normandie

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La dorure sur métal en Bretagne

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La ganterie de peau à Saint-Junien

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La sculpture sur bois à Sainte-Soulle

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La tapisserie d’Aubusson

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Le savoir-faire de la dentelle au point d’Alençon

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La céramique d’art (Jean Girel, au Château)

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La dorure sur bois (Bernard Delaval, à Chapaize)

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La céramique d’art (Jean-Claude Canonne, à Saint-André-le-Désert)

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La facture d’instruments anciens à clavier

(Christopher Clarke, à Donzy-le-National)

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L’art du tailleur (André Guillerme Guilson, à Paris)

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La facture et la restauration instrumentale (Pascal Cranga, à Donzy-le-Pertuis)

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