Développement et mise en œuvre de plans de formation pour le secteur du patrimoine culturel en Algérie 

Confié à IBF International Consulting, chef de file du Consortium formé par Hydea, l’ICOM, l’Ecole d’Avignon et l’INA. le programme est défini autour d’un dispositif de renforcement des publics sur la base de formations courtes et pratiques dans les métiers du patrimoine culturel et s’adresse principalement aux cadres du ministère de la Culture, des structures publiques et au mouvement associatif du secteur. Un ensemble de modules de formation programmés dans trois composantes a été conçu de façon à circonscrire toutes les facettes des métiers du patrimoine culturel matériel et immatériel et répondant à des objectifs particuliers. Piloté par Catherine Virassamy de Greenandcraft, il s’est déroulé de 2016 à 2019.

Autour de trois composantes du patrimoine culturel en Algérie :

  • Composante 1 : l’inventaire des biens culturels en Algérie
  • Inventaire des biens immobiliers (Hydea)                                  
  • Inventaire des biens mobiliers (ICOM)                                         
  • Inventaire des biens immatériels (Hydea)
  • Composante 2 Formation aux métiers du patrimoine
  • Formation professionnelle (EAVI)                  
  • Formation des personnels des musées (ICOM)         
  • Formation des personnels des musées abritant des fonds photographiques et filmiques (INA)
  • Formation continue des architectes, des ingénieurs, des techniciens des BET (Hydea)
  • Composante 3 : renforcement des capacités pour les associations (Rehabimed)
  • Un programme de formation de 129 modules réalisés entre mars 2016 et septembre 2018 dans trois composantes a été conçu de façon à circonscrire toutes les facettes des métiers du patrimoine culturel matériel et immatériel.

Une expertise en ingénierie de formation pour la réalisation de deux référentiels métiers avec le Ministère de la Formation et de l’Enseignement Professionnel, Maçon du Patrimoine Bâti (CMP) et Technicien de conduite des travaux de restauration du patrimoine bâti (BTS).

Renforcement de l’attractivité des centres-villes d’Arles, Tarascon, Boulbon et Saint Martin de Crau – 2019

A la demande de la Communauté d’Agglomération Arles, Crau, Montagnette – ACCM, l’étude menée par la SCET et l’association Greenandcraft avait pour objectif d’identifier les outils d’intervention en faveur du développement des centres-villes des communes de l’ ACCM. La Communauté d’Agglomération envisageait des aménagements urbains des centres ville afin de relancer l’attractivité commerciale de certaines zones des centres d’Arles, la rue du 4 Septembre en particulier, de Tarascon, la rue des Halles, et du centre de Boulbon.

La vocation culturelle, patrimoniale et environnementale du territoire de l’ACCM est également confirmée par la présence de musées notoires ou établissements dédiés au patrimoine culturel immatériel lié à l’artisanat d’art. Une action intervenant à la fois sur l’artisanat, les métiers d’art et le commerce répondait au besoin de renforcement de l’attractivité du centre ville.

L’ ACCM souhaitait dans ce cadre, préparer l’obtention du label « Ville et métier d’Art » pour la ville d’Arles, via un dossier élaboré par  l’association Greenandcraft.

Savoir-faire traditionnels en Europe – Extremadure au Festival Folk Arts de Budapest 20 – 23 août 2015

Les artisans d’Extremadura invités au Festival Folk Arts de Budapest

 

Une délégation d’artisans d’Extremadure en Espagne accompagnée par Greenandcraft, exposait ses produits traditionnels parmi les 800 exposants Hongrois, une représentation d’artisanes Algériennes, également accompagnée par Greenandcraft, et des artisans venus de Turquie, d’Ouzbekistan, du Turkmenistan et du Kyrgyzstan.

Les artisans présents étaient :

Des milliers de visiteurs dans un festival trépidant d’animations locales, d’ateliers et jeux d’enfants, de concerts et spectacles en continu… Une exposition inédite sur les savoir-faire hongrois revisités – entre tradition et modernité – inaugurait cet événement dans le nouveau Musée du Palais – Royal de Buda récemment et magnifiquement restauré sur les berges du Danube, hissant les savoir-faire traditionnel de l’artisanat au coeur de la culture hongroise et européenne dans ce lieu hautement touristique de Budapest.

Traditions revisitées L’esthétique de l’artisanat hongrois contemporain 20 08 2015 / 22 11 2015

 Les traditions revisitées à Budapest : comment l’artisanat traditionnel a su évoluer en restant authentique ?

Une exposition inédite sur les savoir-faire de l’artisanat hongrois revisités – entre tradition et modernité – était présentée dans un nouveau site récemment restauré du Palais-Royal de Buda sur les berges du Danube, hissant ce patrimoine immatériel au coeur de la culture hongroise et européenne dans ce lieu hautement historique et touristique.

Cet évènement constitue une vraie reconnaissance pour ce festival incomparable en Europe par la richesse de ses productions artisanales authentiques.

 

 

Festival Folk Arts de Budapest

Chaque année, le Festival Folk Arts de Budapest se déroule sur la colline de Buda.

Quelques exemples d’artisanat hongrois présent au Festival :

Sculpture sur os : petits objets fabriqués traditionnellement par les paysans et les bergers.

Le travail du bois : il trouve son origine dans le bassin des Carpates où l’on trouve de nombreux artisans : charpentiers, bardeaux, tonneliers, ébénistes qui fabriquent des meubles peints et gravés avec des motifs des Carpates.

Bijoux en perles : ils sont fabriqués à partir de nombreux matériaux naturels tels que les minéraux, le bois ou les os, ou de matériaux de fabrication tels que le verre ou la porcelaine.

Broderie : différents types de fils ou de points tels que le point de croix, le point de satin, le point de boutonnière, etc.

Dentelle : différents types de dentelles aux fuseaux célèbres telles que Balatonendredi, Hunnia et Moga qui ornaient l’intérieur des maisons ou des vêtements.

Poterie : une grande variété de matériaux pour la vaisselle ou la pâtisserie. Poterie non émaillée, colorée avec des teintures de terre, poterie émaillée et poterie noire.

Décoration d’œufs : cadeau habituel dans les rites traditionnels de fertilité printanière pratiqués à Pâques en Europe de l’Est.

Teinture à l’indigo : après un processus d’impression à l’indigo, le tissu ou la porcelaine orientale bleue et blanche sont devenus partie intégrante de la culture textile hongroise. Ces textiles imprimés très populaires sont utilisés dans divers vêtements, nappes ou draps de lit.

Textiles : Les textiles hongrois tissés sont fabriqués dans différents matériaux, lin, coton, chanvre, avec de la dentelle tissée, de simples rayures ou des motifs floraux. Ces textiles traditionnels en feutre sont très populaires.

Le travail du fer : toutes sortes d’objets sont forgés par les maîtres pour décorer leurs outils ou fabriquer des objets. Les forgerons ornemanistes réalisent de magnifiques créations artistiques qui ornent les bâtiments, les fenêtres, les portails ou les clôtures.

Ferinarte Foire de Trujillo Extremadure Espagne 30 avril – 3 mai 2015

Ferinarte 2015, l’artisanat dans un cadre architectural et urbain majestueux

Une cinquantaine d’artisans ont participé à la 2ème édition de Ferinarte dans la ville historique de Trujillo d’où Francisco Pizzaro est parti à la découverte du Pérou en 1527. Vente de productions locales, poterie, céramique, dinanderie, maroquinerie, verrerie, bijoux, marionnettes, remise des prix de la tradition et de l’innovation, démonstration 3D de l’école de Design de Mérida, rencontres commerciales avec une délégation d’acheteurs espagnols, français et portugais ont ponctué cet évènement. Nos coups de coeur vont au cuir, sellerie-maroquinerie d’ El Gardanes Artesano et à la céramique d’Alfareria Guisado, grand prix Ferinarte 2015.

Le patrimoine manufacturier français protégé par un label

(AFP) – Béret basque, dentelle de Calais-Caudry, textile des Vosges ou vases d’Anduze: les produits manufacturés représentant “l’art de vivre à la française” bénéficieront désormais d’une Indication géographique (IG) pour être valorisés à l’export et protégés face aux contrefaçons.

L’IG repose sur la dénomination d’une zone géographique servant à désigner un produit artisanal manufacturé possédant une qualité, une réputation ou des caractéristiques exclusivement attribuées à cette origine géographique.

Jusqu’à présent, seuls les produits agricoles pouvaient bénéficier de la protection des indications géographiques par le biais des indications géographiques protégées (IGP).

Porcelaine de Limoges, parapluies d’Aurillac, grenat de Perpignan, sièges de Liffol Le Grand, espadrilles de Mauléon: des dizaines d’entreprises possédant dans certains cas un savoir-faire en perdition pourront prétendre à une IG.

 Son attribution par l’Institut national de la propriété industrielle (INPI) permettra ainsi à tout professionnel, artisan, société et commerçant de valoriser son produit et son savoir-faire et de se protéger contre l’utilisation abusive des dénominations géographiques.

 

Contribution des instruments de protection du patrimoine culturel à la préservation des espaces naturels et agricoles

Lutte contre l’artificialisation des sols et le mitage – Etude pour le Ministère de la Culture et de la Communication

Groupe de travail sur l’artificialisation des sols – Ministères de la Culture et de la Communication / de l’Agriculture / de l’Ecologie – 2015

Dans le contexte d’extension urbaine, les terres naturelles et agricoles sont clairement menacées. C’est ainsi que l’équivalent de la surface d’un département disparaît en France tous les 10 ans. Leur préservation, comme celle du paysage et du patrimoine culturel qui subit les mêmes pressions constitue un enjeu majeur, et par ailleurs conditionne l’attractivité des territoires ruraux. Ces deux facteurs sont à considérer en même temps pour que les réponses les plus pertinentes puissent être apportées au niveau de l’élaboration des PLU et des SCOT.

Le document est destiné tout d’abord à montrer l’apport que peuvent, dans certains cas, constituer les outils patrimoniaux relevant du Ministère de la culture et de la communication pour la préservation des terres agricoles.

Il s’inscrit dans le cadre d’une commande issue de la conférence environnementale de 2013 faisant écho au protocole Alimentation – Agri/Culture.

 Cet outil a aussi pour ambition de montrer, à travers des exemples concrets, l’intérêt d’une prise en compte globale des enjeux agricoles, patrimoniaux et architecturaux, et ce, dès l’élaboration des documents d’urbanisme.

L’affectation des sols est définie par les documents d’urbanisme. Ainsi, les schémas de cohérence territoriale (SCOT) et les plans locaux d’urbanisme (PLU) délimitent les espaces naturels, agricoles et forestiers sur le territoire qu’ils couvrent. En outre, des instruments de protection au titre du patrimoine peuvent contribuer, de manière indirecte, à l’objectif de préservation de ces espaces.

Les effets liés à la prise en compte du patrimoine culturel peuvent être significatifs notamment pour :

  • L’appréhension de l’identité du territoire autour de valeurs culturelles
  • L’approche transversale de la planification liée à la recherche de cohérence entre espaces urbain, paysager et agricole de qualité
  • La sensibilisation et implication des élus et des acteurs locaux, agriculteurs et habitants
  • La protection contre le mitage et la banalisation des bourgs
  • Le maintien des réseaux de villages
  • Le maintien de l’équilibre entre l’espace bâti et l’espace agricole
  • Le maintien des zones naturelles et d’une zone tampon avec les terres cultivées dans les périmètres protégés
  • La protection des lisières forestières et des réseaux de murs et de haies
  • Le maintien de zones naturelles et agricoles au titre des cônes de vues à préserver.

Patrimoine culturel immatériel et Inventaire des métiers d’art rares en France

Inventaire des Métiers d’Art Rares en France  

INMA février 2011 – Sous la direction de Catherine Virassamy réalisé par Francesca Cominelli et Lamia Gabriel

L’Inventaire des Métiers d’Art Rares en France s’inscrit dans le cadre de la Convention de l’Unesco pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel

Selon le texte de la convention de l’UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel :
« Chaque État-partie doit prendre les mesures nécessaires pour assurer la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel présent sur son territoire.
Il doit s’attacher à identifier et définir les différents éléments du patrimoine culturel immatériel présents sur son territoire, avec la participation des communautés, des groupes et des organisations
non gouvernementales pertinentes. Pour assurer l’identification de ce patrimoine en vue de sa sauvegarde, chaque État-partie doit dresser un ou plusieurs inventaires du patrimoine culturel
immatériel présent sur son territoire. Ces inventaires font l’objet d’une mise à jour régulière. »
(art . 11 et 12)
L’inventaire du patrimoine culturel immatériel (INPCI) en France est tenu et mis à jour par le Ministère de la culture et de la communication (Direction générale des patrimoines). Le département du pilotage de la recherche et de la politique scientifique est compétent dans le domaine de l’ethnologie et du patrimoine culturel immatériel et est en charge de la coordination de la mise en œuvre de la convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Le Département du pilotage de la recherche et de la politique scientifique est à ce titre en charge de l’Inventaire du patrimoine culturel immatériel en France.
L’inscription sur l’inventaire se fait principalement par le biais d’enquête réalisées avec la participation des communautés détentrices de PCI, en partenariat avec des organismes de recherches et des associations culturelles.
L’inscription peut également être demandée directement par les porteurs de traditions. La demande d’inscription est soumise à l’examen du comité du patrimoine culturel immatériel.
L’inscription sur l’inventaire du patrimoine culturel immatériel en France est obligatoire pour présenter une dossier de candidature sur l’une ou l’autre liste du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. La présence de l’élément soumis pour inscription sur un inventaire national est en effet un des cinq critères requis pour que la candidature soit approuvée par l’UNESCO.Les métiers d’art fondent l’un des socles essentiels du patrimoine immatériel culturel français.

Riche de 217 métiers répartis en 19 secteurs, ils sont l’héritage de savoir-faire diversifiés précieusement élaborés de génération en génération. Les métiers d’art façonnent et renouvellent notre patrimoine mobilier et immobilier, intervenant aussi bien dans les champs de la restauration, de la tradition, que de la création. Un nombre important de ces savoir-faire sont toutefois menacés du fait du départ à la retraite de  nombreux artisans impliquant la mise en place d’initiatives pour en assurer la sauvegarde et la transmission.

Cet inventaire fait suite à la réalisation de plusieurs inventaires :

– l’Annuaire Officiel des Métiers d’Art de France qui a pour objectif d’améliorer la visibilité des entreprises et des professionnels des métiers d’art en France et à l’International www.annuairedesmetiersdart.com

– l’Inventaire des métiers d’art rares à Paris et en Ile-de-France afin d’identifier les entreprises et savoir-faire à transmettre via le site internet www.metiersrares.com

– l’Inventaire des Métiers d’Art Rares en France dans le cadre de la mise en œuvre le la Convention de l’Unesco pour la sauvegarde du Patrimoine Culturel Immatériel.

L’inventaire des Métiers d’ art Rares en France a conduit à l’inclusion d’une cinquantaine de savoir-faire de métiers d’art rares à Inventaire National du patrimoine culturel immatériel et à l’établissement d’une bases de données de près de 1000 détenteurs de métiers d’art rares;

Les savoir-faire inclus à l’INPCI :

La fabrication d’épis de faîtage en Basse Normandie

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La construction et restauration de maisons en pans de bois

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La porcelaine de Limoges

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L’héliogravure

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La calligraphie

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Le tissage à bras

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La fabrication de carcasses de sièges à Liffol-le-Grand

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La mégisserie à Saint-Junien

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Les savoir-faire des cristalliers de Daum

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La glyptique

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Le remplissage en pan-de-bois en Normandie

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L’enluminure

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La miniature au « blanc Limoges »

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La filature à Pelletin

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La dentelle au fuseau du Puy-en-Velay

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La fabrication de pigments à Bécherel

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Le rempaillage et le cannage de chaises à Forcalquier

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La peinture sur porcelaine à Saint-Junien

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Le damassage en Lorraine

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La fabrication des émaux de Longwy

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La pendulerie

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La corseterie

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La gravure héraldique

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L’émaillerie de Limoges

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La poterie du Mesnil-de-Bavent

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Les savoir-faire du tourneur sur bois

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La menuiserie-charpente en Normandie

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La dorure sur métal en Bretagne

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La ganterie de peau à Saint-Junien

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La sculpture sur bois à Sainte-Soulle

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La tapisserie d’Aubusson

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Le savoir-faire de la dentelle au point d’Alençon

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La céramique d’art (Jean Girel, au Château)

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La dorure sur bois (Bernard Delaval, à Chapaize)

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La céramique d’art (Jean-Claude Canonne, à Saint-André-le-Désert)

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La facture d’instruments anciens à clavier

(Christopher Clarke, à Donzy-le-National)

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L’art du tailleur (André Guillerme Guilson, à Paris)

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La facture et la restauration instrumentale (Pascal Cranga, à Donzy-le-Pertuis)

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Forum international du couteau contemporain 19 & 20 juin 2015 au Palais Brongniart Paris

2e édition / Salon du couteau d’art au palais de la Bourse, Paris

FiCX-Paris un plateau inédit de couteliers internationaux parmi les plus renommés et novateurs du moment

La richesse et la diversité culturelle de la coutellerie d’art , savoir-faire de ces artisans d’art qui allient tradition et innovation pour s’exprimer au travers de formes, de mécanismes et de matériaux insolites, molaire et défense de mammouth, météorite, bois de cerf, corne de buffle, titane, fibre de carbone etc. étaient au rendez-vous.

 

2e édition / Salon du couteau d’art au palais de la Bourse, Paris

FiCX-Paris,  un plateau inédit de couteliers internationaux parmi les plus renommés et novateurs du moment

La richesse et la diversité culturelle de la coutellerie d’art , savoir-faire de ces artisans d’art qui allient tradition et innovation pour s’exprimer au travers de formes, de mécanismes et de matériaux insolites, molaire et défense de mammouth, météorite, bois de cerf, corne de buffle, titane, fibre de carbone etc. étaient au rendez-vous